La loi “Climat et résilience” pose un objectif de taille : atteindre la “zéro artificialisation nette des sols”.
Les réhabilitations de bâtiments sont particulièrement pertinentes afin d’atteindre cet objectif. Les bâtiments sont intégralement transformés et leur destination après réhabilitation peut être complètement différente. Les bâtiments sont purgés, et seule la structure (qui peut elle-même être modifiée) est “recyclée”.
Cependant, réaliser un projet sur une structure existante nécessite une fine connaissance de celle-ci. Prenez un exemple simple : si vous désirez refaire votre cuisine, la première chose que vous faites, c’est mesurer les dimensions de votre cuisine. Or, dans la majorité des réhabilitations, ce sont les plans d’architecte qui sont réutilisés. Les projets de réhabilitations sont généralement basés sur des plans théoriques, et non sur des relevés de l’existant.
Grâce aux outils de mesures en 3D, nos mesurages peuvent largement fiabiliser vos réhabilitations :
un relevé de l’existant permet d’identifier les contraintes qui auraient pu s’ajouter au bâtiment depuis sa construction (voir nos relevés d’intérieurs et de façades),
un relevé de la structure après la purge du bâtiment permet de mettre en évidence les écarts de construction par rapport aux plans d’architectes,
nous pouvons implanter des points dans les bâtiments afin de guider les maçons,
De plus, dès 2025, les logements classés G ne pourront plus être loués. Il en est de même en 2028 pour les logements classés F. Nous réalisons des plans de façade permettant de prendre en compte les contraintes des isolations extérieurs à poser.
N.B. : Les géomètres ne partent jamais du principe qu’un bâtiment est parfaitement édifié. Les poteaux ne sont pas rigoureusement les uns au-dessus des autres, mes murs présentent parfois du fruit, les cloisons ne sont pas spécialement perpendiculaires…